Les vacances, une bonne période pour s’occuper de soi
Profiter des congés d’été pour se faire opérer est une bonne idée. Les avantages sont nombreux : l’intervention passe inaperçu de l’entourage professionnel et amical, et à la faveur de la trêve estivale une période de repos plus longue et plus détendue permet de maximiser la qualité du résultat. Quelle que soit l’intervention, la seule véritable contre-indication est l’exposition solaire.

Ma vocation, chirurgien plasticien
Ce métier, c’est d’abord une vocation, et voici comment elle m’est venue. C’est au départ une histoire de transmission familiale, de père en fils, comme dans beaucoup de familles de médecins… J’ai appris mon métier dans les grands services hospitaliers de chirurgie plastique. Je découvrais alors la chirurgie réparatrice — un autre pan de ma spécialité…

Comment choisir son médecin pour des injections du visage réussies
Qu’il s’agisse d’acide hyaluronique ou de toxine botulique (Botox®), les produits de comblement et les techniques d’injections offrent aujourd’hui de nombreuses solutions pour corriger les stigmates du vieillissement du visage. Il reste alors à choisir son “injecteur”, la personne qui saura obtenir le meilleur résultat, le plus naturel, avec le maximum de sécurité et de confort lors des injections.

Culotte de cheval, cellulite : Est-ce la même chose ? Quels sont les traitements ?
Les injections doivent (absolument) être pratiquées par un médecin spécialisé. N’acceptez jamais non plus de vous faire injecter un produit non résorbable, ou à des coûts défiant toute concurrence. Ce sont des précautions de base. Le visage est une région anatomique compliquée. Une injection n’est pas un acte anodin d’autant qu’il y a dans le visage des zones à risques.
Quelle est la durée de vie des prothèses mammaires ?
Aujourd’hui, changer de prothèses mammaires tous les dix ans comme cela était recommandé il y a encore quelques années n’est plus forcément inéluctable. Il convient toutefois de faire pratiquer les contrôles réguliers nécessaires… Désormais, le motif le plus fréquent de changement de prothèses n’est pas l’usure mais le vieillissement de la patiente.